Sodi enchaine les titres !

Vincent Fraïsse vient d’ajouter un nouveau titre de Champion de France au palmarès déjà bien rempli de Sodi en 2013. Après avoir été couronné en Rotax Max, c’était en juillet à Ancenis, le pilote Francilien a récidivé de la plus belle manière sur la piste de Lavelanet en remportant cette fois le Championnat de France X30.

Le constructeur français est bien récompensé de ses efforts incessants pour produire des châssis de grande qualité aux performances remarquables. Alors que la saison est loin d’être terminée, le score actuel fait déjà état de quatre titres nationaux : Coupe de France Minikart, Championnats de France Rotax Max, Rotax Master et maintenant X30. Sans oublier le doublé aux 24 Heures du Mans, ni le X30 Challenge Europa en début d’année. Une telle série de victoires ne doit rien au hasard. La volonté de gagner de l’usine Sodi se traduit directement par la production de châssis exceptionnels dépassant en bien des points toutes les marques italiennes présentes sur l’échiquier national, résultats à l’appui !

L’épreuve ariégeoise a bien débuté pour le pilote Sodi qui signait d’entrée le meilleur chrono devant une meute d’adversaires prêts à en découdre dont un pilote international de renom, Kevin Breysse, qui avait fait partie du Sodi Racing Team en son temps. Fraïsse continuait à convaincre dans les manches qualificatives. Si une victoire lui échappait à la suite d’un départ enfiévré, il en signait néanmoins les meilleurs tours en course et pointait second au classement intermédiaire. Il reprenait l’avantage dès la préfinale et concluait impeccablement en finale après avoir mené de bout en bout sans donner l’impression de forcer son talent. La démonstration effectuée par Vincent Fraïsse et l’équipe Ludo Racing à Lavelanet est éloquente

« Tout s’est bien passé ! » commentait le nouveau Champion après l’arrivée. « Mais ce n’était pas simple. J’étais tendu avant la finale, la course étant longue et les conditions incertaines. Ludo Racing a su trouver le bon set-up de mon châssis Sodi, je m’en suis tout de suite rendu compte. A partir de là, je n’avais plus qu’à faire ce qu’il fallait derrière le volant ! »

Pas question de se reposer sur ces lauriers du côté de l’usine de Couëron, d’autres échéances se profilent déjà à l’horizon avec la perspective prochaine d’améliorer encore un palmarès pourtant bien rempli.

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