Compétition

Defourny renonce au Margutti pour ses études


Pas facile de concilier la pratique d’un sport exigeant comme le karting avec la poursuite des études pour les jeunes pilotes internationaux. Des sacrifices doivent être consentis, mais jusqu’où peut-on raisonnablement aller ?

 

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Deux principaux cas de figure s’opposent dans les paddocks: suivre des cours à distance ou rejoindre un établissement scolaire à chaque occasion. La première solution est plus souple mais comporte le risque de lâcher prise progressivement au profit de l’activité sportive. Les exemples de réussite, s’ils existent, restent peu nombreux en karting. D’un autre côté, être scolarisé dans un collège demande une solide organisation pour rattraper les cours. Le fait de cotoyer des professeurs et d’autres élèves apporte naturellement bien plus de choses que d’apprendre en solitaire à la maison. De grandes disparités sont cependant relevées dans la réaction et l’accueil des équipes enseignantes. D’après le suivi régulier de ce problème depuis plusieurs années assuré par notre spécialiste attitré, l’attitude de l’établissement est essentielle dans le succès de l’entreprise, sans pour autant minimiser les efforts de l’élève. Compréhension et adaptation sont plus que nécessaires des deux côtés…

 

Max Defourny et sa famille ont choisi de le maintenir le plus possible dans une classe, même s’il doit en être parfois absent à cause de ses nombreux déplacements. C’est pourquoi il ne participera pas ce week-end au Trofeo Margutti, une épreuve mythique du calendrier, se déroulant en Italie, afin de profiter de l’enseignement dispensé en classe par des professeurs compétents.

 

 

Info Kartcom / © Photo KSP


Publié le 08/03/2013

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